participation à la revue web Because Magazine
30/05/2011
28/03/2011
Accademia di Belle Arti di Brera - Art thérapie -
L'art au service de la thérapie.
The big question: "qu'est ce que je vais faire une fois que j'aurais fini mes études?".
Réflexion qui m'a dirigé vers l'art thérapie, où l'art est le moyen pour les patients en mal être de se reconstruire. Par chance, l'académie de Brera propose un master en art thérapie. Je suis alors des cours qui nous poussent à manipuler la matière, la connaître, avant de la faire manipuler, en tant que futurs art thérapeutes, à nos -futurs- patients. Le discours de cette école est d'être avant tout un artiste, qui connait les couleurs, les formes, les matière, plutôt qu'un thérapeute. Car l'art thérapie passe plus par le geste et le regard que par la parole. Pour moi, venant d'une formation artistique, il est surtout essentiel d'avoir de l'empathie et une certaine connaissance de la psychologie. Certaines personnes de mon master n'ont pas de formation artistique, mais cela ne les empêchera pas d'être de bon "art thérapeutes", on est là pour apprendre, et leurs connaissances ne peuvent être qu'en complémentarité avec celles des "art thérapeutes", venant d'un milieu artistique.
Quoiqu'il en soit, voici quelques photos de nos expérimentations plastiques. Le travail de ce semestre tourne autour de l'autoportrait. Dans cet exercice, il s'agit d'effacer notre visage photocopié sur A3, en utilisant du blanc et du noir. Une démarche de transformation, de modification. Suite à ça, un dialogue s'instaure, et nous en venons à une analyse phénoménologique, où finalement le geste et la texture nous amènent plus à mettre un filtre sur notre portrait, plutôt que d'effacer nos traits.
Représentation de ses émotions.
dessin de notre silhouette dans laquelle l'on représente 5 émotions ; la rage, la joie, la peur, la passion et l'angoisse.
The big question: "qu'est ce que je vais faire une fois que j'aurais fini mes études?".
Réflexion qui m'a dirigé vers l'art thérapie, où l'art est le moyen pour les patients en mal être de se reconstruire. Par chance, l'académie de Brera propose un master en art thérapie. Je suis alors des cours qui nous poussent à manipuler la matière, la connaître, avant de la faire manipuler, en tant que futurs art thérapeutes, à nos -futurs- patients. Le discours de cette école est d'être avant tout un artiste, qui connait les couleurs, les formes, les matière, plutôt qu'un thérapeute. Car l'art thérapie passe plus par le geste et le regard que par la parole. Pour moi, venant d'une formation artistique, il est surtout essentiel d'avoir de l'empathie et une certaine connaissance de la psychologie. Certaines personnes de mon master n'ont pas de formation artistique, mais cela ne les empêchera pas d'être de bon "art thérapeutes", on est là pour apprendre, et leurs connaissances ne peuvent être qu'en complémentarité avec celles des "art thérapeutes", venant d'un milieu artistique.
Quoiqu'il en soit, voici quelques photos de nos expérimentations plastiques. Le travail de ce semestre tourne autour de l'autoportrait. Dans cet exercice, il s'agit d'effacer notre visage photocopié sur A3, en utilisant du blanc et du noir. Une démarche de transformation, de modification. Suite à ça, un dialogue s'instaure, et nous en venons à une analyse phénoménologique, où finalement le geste et la texture nous amènent plus à mettre un filtre sur notre portrait, plutôt que d'effacer nos traits.
Représentation de ses émotions.
dessin de notre silhouette dans laquelle l'on représente 5 émotions ; la rage, la joie, la peur, la passion et l'angoisse.
23/03/2011
Accademia di Belle Arti di Brera - Back to the sources ! -
13/12/2010
Les insomniaques
Episode 1
Participation à la revue Capharnaüm, des éditions Les Insomniaques, sur l'imaginaire monstre.
Revue créée par Chloé Bergerat
http://www.lesiteinsomniaque.com/caph3.html
Episode 2
Je renouvelle ma participation au magazine des Insomniaques avec au programme cette fois-ci "le fantasme sans forme érotique"
Participation à la revue Capharnaüm, des éditions Les Insomniaques, sur l'imaginaire monstre.
Revue créée par Chloé Bergerat
http://www.lesiteinsomniaque.com/caph3.html
Episode 2
Je renouvelle ma participation au magazine des Insomniaques avec au programme cette fois-ci "le fantasme sans forme érotique"
08/12/2010
"Espace du livre- édition et création"
L'espace du livre est un arc dirigé par Joëlle Labiche et Sophie Monville. Il mène à la réflexion autour du livre et de son espace, ce qu'il apporte et ce que l'on cherche à montrer via cet espace.
Recherches plastiques
Recherches graphiques et plastiques qui m'amènent à réfléchir sur le glissement qui se fait entre l'immatériel et le tangible.
À l'aide de collages, évocation du monstrueux et du cauchemardesque, univers fantastique et incertain, comme celui qui pouvait nous effrayer lorsque nous étions petits, jusqu'à l'incarnation de ses "bêtes" que l'on observe dans un quotidien fantastique. Un véritable cabinet de curiosité, et d'observation s'offre à nous, et à notre regard qui a grandit et qui n'est plus apeuré, mais qui a délibérément pris goût au voyeurisme.
`
Impression du laporello sur traceuse
Laporello finalisé
Seconde édition, Cabinet de curiosité.
Recherches plastiques
Recherches graphiques et plastiques qui m'amènent à réfléchir sur le glissement qui se fait entre l'immatériel et le tangible.
À l'aide de collages, évocation du monstrueux et du cauchemardesque, univers fantastique et incertain, comme celui qui pouvait nous effrayer lorsque nous étions petits, jusqu'à l'incarnation de ses "bêtes" que l'on observe dans un quotidien fantastique. Un véritable cabinet de curiosité, et d'observation s'offre à nous, et à notre regard qui a grandit et qui n'est plus apeuré, mais qui a délibérément pris goût au voyeurisme.
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Impression du laporello sur traceuse
Laporello finalisé
Seconde édition, Cabinet de curiosité.
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